
Enseignant Menace De Mort – Après avoir discuté des caricatures de Mahomet, un enseignant de Thann a été menacé de mort. Après avoir affronté un enseignant du lycée de son neveu, Scheurer-Kestner, dans cette commune du Haut-Rhin, l’oncle a été poursuivi pour “menaces de mort”.
Sonia Backès, la secrétaire d’Etat, dénonce “une agression injustifiable”. L’un des oncles de mes élèves a menacé de tuer un professeur dans le Haut-Rhin. Le Figaro rapporte qu’un enseignant a évoqué des caricatures de Mahomet en classe, correspondant à un rapport de L’Alsace de quelques jours auparavant.
Le tabloïd local rapporte que le 4 octobre, l’enseignant du lycée Scheurer-Kestner de Thann a soulevé la question de la liberté d’expression en évoquant le cas du journal satirique Charlie Hedbo. Pendant le cours, la jeune fille se serait “agrippée verbalement” à son instructeur.
Après cela, elle l’aurait dit à son oncle, qui s’est arrêté à l’école après la fin des cours pour parler à l’instructeur. L’oncle a critiqué l’éducateur, nommant Samuel Paty par son nom, comme le rapportent les deux journaux. Quelqu’un qui enseignait l’histoire et la géographie et qui a été abattu devant son collège en.
Octobre 2020 pour avoir affiché des caricatures se moquant du prophète Mahomet. Le parquet de Mulhouse indique que le 7 octobre une information judiciaire a été ouverte après une plainte déposée par le professeur de Thann. L’oncle a été arrêté et inculpé de menaces de mort à l’encontre d’une personne chargée.
D’une mission de service public. La petite fille fait l’objet d’une enquête pour “apologie du terrorisme” et sera convoquée ultérieurement pour un interrogatoire. -Selon le Figaro, Edwige Roux-Morizot, la procureure de la République de Mulhouse, présidera l’audience. La secrétaire à la Citoyenneté Sonia Backès a exprimé.
Son “soutien” au professeur et a plaidé pour “des peines exemplaires”. “Nous n’abandonnerons pas” aux “attaques contre la laïcité en classe”, a-t-elle tweeté. Près de deux ans se sont écoulés depuis que Samuel Paty a été assassiné à Conflans-Sainte-Honorine, et voilà que cette affaire se présente.
Les 14 ou 17 octobre, les écoles sont invitées à honorer le professeur d’histoire-géographie par une minute de silence, un échange ou une séquence pédagogique. C’est par le ministère de l’éducation nationale. Eduscol, un site Web qui fournit des informations pédagogiques aux éducateurs.
Décrit son objectif comme “la possibilité de promouvoir la connaissance de ce qu’est la pensée critique, la valeur de la méthode scientifique, basée sur des faits et leur observation”. Il ne peut y avoir de compromis sur la laïcité. Elle est essentielle pour mettre en pratique les idéaux de la République.
Afin de maintenir l’école à l’abri de toute influence extérieure et de toute conversion religieuse, c’est une condition nécessaire, a fait cette déclaration mardi à l’Assemblée le ministre de l’Éducation nationale Pap Ndiaye, quelques jours seulement avant la remise du prix Samuel.
“Aux classes impliquées dans des actes sur la citoyenneté et la laïcité”, dit Paty. Cette histoire a pris des dimensions énormes sur les réseaux sociaux quelques jours avant l’anniversaire de la mort de Samuel Paty, cet enseignant assassiné le 16 octobre 2020 à Conflans-Sainte-Honorine parce.
Qu’il avait exposé des dessins animés de Mohammed en classe. Le jeudi 4 octobre, l’oncle d’un élève du lycée Scheurer-Kestner de Thann a menacé de tuer l’instituteur qui s’occupait de son neveu. France Bleu et la procureure de Mulhouse, Edwige Roux-Morizot, font le point face aux rumeurs et à la désinformation.
Le thème des symboles religieux manifestes et de la laïcité a été abordé en classe le 4 octobre lors du cours d’économie et de sciences sociales du professeur. Une enfant a parlé de sa lutte pour embrasser le voile. Après le cours, les élèves et l’enseignant ont poursuivi leur conversation de manière informelle.
Le conférencier a témoigné que l’étudiant “avait eu tendance à rationaliser les attentats de Charlie Hebdo” lors de la conversation, comme l’a expliqué le procureur de Mulhouse. Elle souligne qu’il n’y avait pas de mauvais sang entre elle et l’élève. L’enquête n’est toujours pas claire sur ce point.
La cause de cet événement est encore inconnue. En raison du fait que l’enfant n’est pas rentré chez lui, sa mère est allée la chercher. La mère emmena son oncle au cas où il y aurait des malentendus dans la conversation. Edwige-Roux Morizot affirme que le reste est désormais plus compréhensible.
La mère et l’oncle de l’élève sont arrivés à l’école peu de temps après la fin des cours, et des mots passionnés ont été dits au sujet de l’invocation religieuse en cours. Edwige-Roux Morizot ajoute que les propos de l’oncle contre l’instructeur ont été qualifiés de menaces de mort en raison.
Des circonstances entourant son évocation de ce qui est arrivé à Samuel Paty. Malgré leurs protestations, l’oncle a été accusé d’être entré illégalement dans une école sans autorisation et d’avoir proféré des menaces de mort contre toute personne en position d’autorité lors d’une mission de service public.
Le procureur de Mulhouse précise : “Il a été placé sous contrôle judiciaire, avec restriction de contact avec l’instructeur et d’entrée dans l’école”. Avec son oncle, l’étudiant a été placé en garde à vue, mais jeudi soir, il a été libérééd. Afin de mettre en examen la lycéenne, celle-ci doit d’abord être soumise à un juge.
D’instruction pour interrogatoire. Edwige Roux-Morizot souligne que si l’oncle se rend à l’école ou parle au professeur, il sera arrêté sur-le-champ. Après l’événement du 4 octobre 2022, le rectorat de Strasbourg a précisé que “le lycée Scheurer-Kestner fait l’objet d’un suivi régulier par le rectorat et les services de l’Etat”.
Tant que cela sera nécessaire, il restera en vigueur. A l’intérieur du bâtiment, les salariés ont accès à une cellule d’écoute. Exactement deux ans après le meurtre de Samuel Paty, un enseignant de Thann, en France, a été menacé de mort pour avoir discuté des caricatures du prophète Mahomet avec ses.
