
Chanteur Ibo Simon – Ce samedi 24 septembre 2022, Ibo Simon, animateur de télévision, politicien et musicien, a officiellement pris sa retraite. Même s’il était un personnage de division, de nombreux Guadeloupéens ont dû faire face à lui tous les jours pendant un certain temps.
Il a dû dire cette phrase des centaines de fois ; c’est devenu sa marque de fabrique. Le 24 septembre 2022, à l’âge de 82 ans, Ibo Simon est décédé samedi. L’homme du commun a d’abord marqué l’histoire dans la vie politique. Il s’est présenté plusieurs fois aux élections municipales de Pointe-à-Pitre ainsi qu’à l’Assemblée législative.
Parallèlement, il était membre du conseil régional. Il est surtout connu du grand public pour ses rôles d’animateur de radio et de télévision. Son dévouement, ses coups de gueule et ses convictions souvent très polémiques, parfois xénophobes, parfois racistes, n’ont jamais manqué.
De faire réagir son entourage durant ses années d’officiel à Canal 10. Pour incitation à la haine raciale, il a fait face à des accusations et a été reconnu coupable en 2001. À bien des égards, Ibo Simon incarnait l’intimité. La compagnie d’un Guadeloupéen était toujours la bienvenue à ses yeux.
En plus de tout cela, c’était un homme très cultivé. Échange les rôles d’acteur, d’écrivain, de musicien et de poète. Pour Ibo Simon, la ville du Gosier a organisé une “journée de reconnaissance” le 20 février. Un prix convoité par la brigade Prince Land. La mort a fait l’objet de plusieurs rumeurs qui se sont.
Propagées ces dernières années. Il essayait perpétuellement de prouver sa vitalité. Je suis malade et épuisé, mais je suis toujours plein de vie. Le Basse-Terrien, ancien homme politique, musicien et animateur de Canal 10, est décédé à l’âge de 81 ans. Il était soit universellement adoré, soit universellement vilipendé.
Ibo Simon, une figure très controversée dans de nombreux domaines en tant qu’artiste, homme politique et animateur de télévision et de radio, est décédé samedi dernier après une longue bataille contre la maladie il avait 81 ans. En tant que chanteur, il a d’abord attiré l’attention.
Même si je dois mourir un jour, publié en 1979, était l’une de ses œuvres les plus populaires. Il est devenu célèbre après avoir assumé le rôle d’animateur de télévision pour le populaire réseau Canal 10. eux ceux qui ont apprécié ses déclarations grandiloquentes et souvent racistes.
Il considérait les Haïtiens et les Dominicains comme les ennemis de la Guadeloupe qui profitaient de la générosité de l’île. Il avait également à ses côtés le défunt politicien excentrique Raymond Viviès. À ce stade de sa vie, il avait atteint le statut de célébrité et envisageait une carrière politique lorsqu’il a pris cette décision.
Plus tard, en 1995, il a également été élu conseiller régional après avoir été conseiller municipal. Des poursuites judiciaires contre lui ont commencé en 2001, et il a finalement été reconnu coupable d’incitation à la haine raciale et privé de ses droits constitutionnels en conséquence.
Au fil du temps, il a disparu de la vue du public en raison d’une maladie et d’une série de malheurs personnels, y compris une accusation d’attouchements sexuels faite par une dame qu’il avait ramassée. Ibo Simon, chanteur, acteur et personnalité de la télévision, est décédé vendredi soir de causes naturelles.
Autrement dit, pas par les mains de criminels. Clin d’oeil à son hit intemporel. Il a été conseiller provincial aux côtés de son ami Raymond Viviès, héritier d’une riche famille locale, et il a également été chanteur et émission de télévision controversée. Un duo imparable dans l’hémicycle du Conseil régional et lors d’autres réunions.
Cela fait 30 ans depuis. Longtemps, il sillonnera la Guadeloupe avec un micro en remorque et diffusera sur Canal 10. Des foules de gens ont afflué pour voir l’homme excentrique d’un pied cinquante centimètres (sa tenue à elle seule le rendait photogénique). Ibo Simon s’est présenté aux élections législatives et municipales de Pointe-à-Pitre.
Il peut tout de même se vanter d’avoir été membre du Conseil régional sous le mandat de Lucette Michaux-Chevry. A une autre époque. Il a été accueilli avec des sourires et de légères moqueries lorsqu’il est arrivé à la rédaction du journal. Il n’était pas aussi inquiet. Il a jeté une pile de papiers froissés sur mon bureau.
Les ressources dont vous avez besoin sont facilement disponibles ici. C’était sa première tentative de faire une déclaration de foi publique. Vous deviez réorganiser les draps, communiquer avec lui et donner un sens à son discours confus. Furieux, il n’arrêtait pas de répéter: “Mais vous avez tout là-bas”.
Rencontrer des gens fascinants est l’un des avantages d’être journaliste. L’un d’eux comprenait Ibo Simon. Le journaliste sportif de Canal 10, Pascal Abatan, se souvient : “Je l’ai connu quand j’avais 10 ans, il habitait au Carénage, où j’ai grandi”. Il était une figure bien connue avec ses serrures de signature et sa voix chantante.
En mûri quand j’ai commencé à travailler dans l’industrie du cinéma et de la télévision, j’en ai été témoin une fois de plus. Il s’est joint à moi et à d’autres anciens cyclistes lorsque j’ai formé un club. Nous nous sommes très bien occupés de Pierre André. Apprendre la nouvelle de son décès a été un énorme choc.
C’était un Guadeloupéen célèbre. Quelqu’un qui se soucie de l’homme du commun. Lorsque nous avons rencontré Ibo Simon pour la première fois dans les rues de Basse-Terre dans les années 1970, il attirait des foules de badauds de tous âges avec sa coupe de cheveux rastafarienne et ses vêtements lumineux et uniques.
De plus, l’artistequi avait un temps vécu en France se qualifiait de « premier rasta » de Guadeloupe avant d’abandonner cette identité. Waka Danaka, le nom africain qu’il avait adopté, sera également abandonné. Beaucoup de gens à l’époque possédaient des copies de disques 45 tours.
D’un chanteur connu sous le nom de « Ti-Georges », originaire du quartier branché Basse-Terrien du Bas-du-Bourg qui prétendait « chanter la conscience ». en raison de l’acclamation généralisée de sa musique. Ibo Simon a commencé sa carrière en.
