
Cagnotte Nael Policier – Les élites françaises, en revanche, ont été honteusement muettes sur la dernière campagne du raciste égyptien Jean Messiha. Les premières contributions de la famille de Na’l ont été éclipsées par l’incroyable croissance du Shame Fund. Les internautes s’indignent que Nal, seule victime de cette pièce avant d’être tué par la police, ait reçu moins d’aide officielle et financière que les autres parties impliquées.
Un tweet de 2019 de Mounir Mahjoubi peut être paraphrasé comme suit : “Apparemment, il s’agit de frapper un flic.” Des membres du gouvernement Macron et de la classe dirigeante française se sont levés en 2019 pour dénoncer la collecte de fonds pour Christophe Dettinger au nom de la moralité et de la dignité ; Feront-ils de même en 2020 pour condamner le lancement de la marmite de la honte créée en soutien au policier actuellement mis en examen pour homicide volontaire, c’est-à-dire meurtre ? Un tweet officiel du gouvernement disait : “Cet argent donné pour meurtre”.
Selon Marlène Schiappa, qui a tenu ces propos du temps de la cagnotte de Christophe Dettinger, “Soutenir cette cagnotte, c’est être complice de cet acte et inciter à la violence.” Personne ne pourrait affirmer de manière crédible que ceux qui ont contribué à l’événement “ont encouragé la brutalité policière criminelle” par leur soutien, en paraphrasant l’original.
La prévalence des fascistes en France a conduit nombre de ses habitants à soutenir la peine de mort pour les mineurs délinquants. C’est la situation avec le meurtrier de Nahel. Le policier de Nanterre qui aurait menacé de “lui mettre une balle dans la tête” avant de tirer et de tuer impitoyablement le garçon.
Le flic voleur Florian Menesplier est un vétéran qui a servi dans le 35th Rifles et est allé à l’école catholique privée Sainte-Famille Saintonge. Il a fait une énorme erreur en faisant cette chose illégale. C’est un cauchemar devenu réalité, et il est difficile de s’y retrouver. Une “cagnotte de soutien” pour le tireur a été placée sur Internet par le militant d’extrême droite controversé Jean Messiha il y a environ trois jours.
Ils ont rapporté près de 700 000 euros dimanche. Pour récolter une somme aussi faramineuse, des copains motards des Hauts-de-Seine ont monté une cagnotte et récolté près de 50 000 euros. D’autres éléments de preuve montrent que les événements en cause ne sont pas le résultat d’« erreurs » ou de « dérapages » de la part de la police.
Un vaste réseau de soutien bien organisé au sein de la communauté des forces de l’ordre entre en action lorsque des brutalités policières se produisent, soutenu par d’importantes ressources financières et médiatiques. Au point où les individus qui assassinent un jeune d’ascendance maghrébine sont généreusement récompensés, le racisme et la propagande policière ont atteint des sommets sans précédent.
Parmi les multiples centaines d’euros versés, un sous le couvert de “Jean Culas Mélenchon” a donné 1102. La France abrite des racistes aisés qui n’hésiteraient pas à vivre au bord de la pauvreté pour financer un meurtrier en uniforme. Si vous voulez le couvrir de distinctions financières, bien sûr.
Florian Menesplier pourrait bientôt devenir multimillionnaire pour avoir tué un adolescent. L’agent peut économiser suffisamment d’argent à ce taux pour acheter une deuxième maison et peut-être prendre sa retraite plus tôt. Payer pour la démolition de quartiers et une manifestation nationaliste blanche est certainement plus qu’un simple soutien ; c’est un symbole. C’est la prétendue représentation financière du gouvernement français de tous ceux qui favorisent la loi et l’ordre, y compris les syndicalistes de la police et les nazis.
Khider Mesloub en est l’auteur. Le 5 janvier 2019, à Paris, un ex-boxeur nommé Christophe Dettinger a été vu en train de donner des coups de poing à deux policiers dans le cadre de la manifestation des gilets jaunes. Sur le site de l’entreprise Leetchi le lendemain, un de ses commanditaires avait déjà constitué une cagnotte.
Deux jours plus tard, le gouvernement Macron clôturait le chéquier, qui était passé à plus de 145.000 euros, se disant “choqué” par l’aide financière offerte à un “voyou” devenu le “héros national” des Gilets jaunes. Un certain nombre de responsables de l’administration Macron étaient opposés à la campagne de collecte de fonds à l’époque parce que « cet argent a été donné pour la violence », comme l’a décrit un responsable.
Apparemment, il s’agit d’agresser un flic, comme l’a tweeté le secrétaire à la Cybersécurité Mounir Mahjoubi. Je trouve répugnant que l’attrait de l’argent se mêle à la haine et à la violence. Le 6 janvier 2021, le tribunal de Paris a tranché le “sort” de l’affaire de la cagnotte, qui avait fait l’objet d’une longue bataille judiciaire entre Leetchi et les époux Dettinger pendant plus de deux ans (au cours de laquelle Leetchi a exigé que les Dettinger payez-lui la totalité de l’amount perçu plus deux millions d’euros de dommages et intérêts).
Le tribunal a finalement rendu un jugement, rejetant la demande des Dettingers de payer le pot et ordonnant à la place à Leetchi de rembourser tous les donateurs. La défense affirme que le juge a conclu que le pot n’était pas suffisant pour couvrir les frais juridiques de l’ex-boxeur ou subvenir aux besoins de sa famille.
C’était interdit même si c’était techniquement permis. Le jeu en ligne a été conçu à l’origine comme un moyen de financer un soulèvement violent contre l’autorité établie. Il “porte manifestement atteinte à la moralité et à l’ordre publics dans la mesure où il doit être considéré comme un objectif illégal”, a jugé le tribunal, ce qui signifie que les dons à une telle cause sont illégaux.
L’ex-boxeur ne gagnait pas autant
Le suspect qui a tiré le coup de feu mortel a été interrogé pour suspicion de meurtre après avoir été placé sous surveillance pendant 48 heures après la mort de Nal aux mains de la police. Pas une seule personne n’a jamais mis une telle allégation sur papier. Dans un communiqué, l’Association des Amis de Maurice Rajsfus souligne : Encore une fois, les mensonges et les faux témoignages de deux policiers qui affirmaient être en danger imminent et avoir droit à une protection juridique ont été déjoués par des images amateurs enregistrées par un témoin sur le lieu du crime à l’aide de son téléphone portable.
Ces informations suggèrent que deux policiers malhonnêtes pourraient avoir commis un meurtre exprès. Le lanceur doit être identifié, ainsi que son “collègue que l’on entend, sur les enregistrements, encourager le tireur à tirer”. Les suprématistes blancs français, dirigés par l’ancien partisan d’Eric Zemmour, Jean Messiha, ont lancé une campagne Web pour défendre l’officier qui a tué Nal. Plus de 500 000 euros ont été versés au moment où j’écris ceci.
Pour l’instant, seuls les internautes et un petit pourcentage de la population française sont indignés par cette levée de fonds controversée pour le policier qui a tué Nal à Nanterre. Les défenseurs des droits de l’homme et les militants anti-discrimination se prononcent contre le plan depuis qu’il a été conçu et est dirigé par un raciste notoire. Des groupes et des militants en France affirment que cette opération de soutien financier est le reflet du racisme systémique du pays.
Le contraire est vrai. C’est “une véritable mobilisation silencieuse en faveur d’un criminel en uniforme”, comme le dit Counter-Attack. L’officier responsable de la mort de Nal pourra s’offrir un bon avocat et un paiement satisfaisant. Quel horrible acte de meurtre raciste ! L’agent a également demandé sa libération, et une décision sur sa demande sera rendue la semaine suivante. Dans cette affaire, la justice a été rapide et décisive.
