Bruno Mesrine Mort – Sur le plateau de Touche Pas à Mon Poste jeudi dernier, Bruno Mesrine a révélé que son père, Jacques Mesrine, était récemment décédé. Ce n’était pas le moindre de ses problèmes d’être le fils de l’ennemi public numéro un. Le jeudi 10 décembre, lors de son passage dans le plateau de.
Touche Pas à Mon Poste, Bruno Mesrine s’est exprimé avec franchise sur son père, Jacques Mesrine, et sur les événements qui ont entouré sa mort le 2 novembre 1979. Un non-lieu a été prononcé après que “27 ans de procédures” pour “assassinat” aient été déclenchées par le décès.
Le fils du criminel, ainsi que la sœur du délinquant Sabrina et son frère Boris, ont porté plainte contre les autorités, qui ont invoqué la légitime défense. La police avait justifié l’usage de la force létale (21 coups de feu ont été tirés) en invoquant le danger que présentait le fugitif mort.
Qui conduisait son automobile au moment de la fusillade. Le fils du défunt conteste l’explication officielle. Il faudra expliquer pourquoi mon père est toujours dangereux après l’avoir vu enfermé dans une BMW les mains sur le volant, ceinturé, face à quatre snipers et une trentaine de policiers.
Bruno Mesrine, qui vivait en Savoie au moment du décès de son père, survenu porte de Clignancourt à Paris, l’a appris sur le chemin de l’inhumation de son grand-père. Il était adolescent à l’époque. Le petit-fils de Jacques Mesrine est arrivé dans l’appartement familial de Clichy avec son père pour trouver.
“Des centaines et des centaines de personnes” qui l’attendaient. Un par un, ils ont annoncé la nouvelle du décès de son père. J’avais 15 ans”, se souvient-il. Bruno Mesrine, un magicien professionnel, a déclaré qu’il n’avait aucune animosité contre les forces de l’ordre, mais qu’il.
Ne pardonnerait jamais au commissaire en chef Robert Broussard d’avoir arrêté son père, Jacques Mesrine. Cet individu et sa bande de crétins sont responsables de la mort de mon père. Aucune incertitude n’existe dans son esprit. Robert Broussard a choisi de faire mettre à mort le criminel plutôt que de risquer une nouvelle évasion.
Bruno Mesrine a précisé : “Ils ne voulaient plus d’un homme comme lui.” Ennemi de l’establishment et symbole de la pègre, Jacques Mesrine aurait dû payer le prix de sa notoriété. Jacques Mesrine, le père de Bruno, a été assassiné le 2 novembre 1979 et était alors considéré comme l’ennemi public numéro 1 en France.
Il a été abattu à plusieurs reprises alors qu’il conduisait son automobile car il était recherché par la police et il y est mort. Bruno Mesrine, son fils, a toujours des liens forts avec ces événements. Même après plus de quatre décennies, il était prêt à revisiter l’événement traumatisant.
Cela faisait 18 mois que Jacques Mesrine s’était évadé de la prison de La Santé, et les hommes du commissaire Robert Broussard le recherchaient toujours. Le gars, maintenant âgé de 40 ans, s’est évadé de prison alors qu’il purgeait une peine de 20 ans pour vol, prise d’otage et tentative de meurtre.
La police l’a finalement retrouvé dans le 18e arrondissement alors qu’il était au volant de la BMW dans laquelle il avait caché des bombes le vendredi 2 novembre 1979. Les journalistes ont déclaré avoir compté 18 impacts de balles et trois autres sur le châssis après que les forces de l’ordre ont ouvert le feu.
Le décès de Jacques Mesrine est une perte pour le monde de la musique. Bruno Mesrine, le fils de Jacques, était en route pour rendre visite à son grand-père au cimetière lorsque l’accident s’est produit. Quand lui et sa grand-mère ont finalement atteint l’appartement familial à Clichy, ils ont été accueillis par.
Des centaines de personnes qui les ont informés de la tragique nouvelle que son père avait été tué. Bruno Mesrine, le fils de Jacques, était en route pour rendre hommage à la tombe de son grand-père lorsque l’accident s’est produit. Quand lui et sa grand-mère ont finalement atteint l’appartement familial à Clichy, ils ont.
Eté accueillis par des centaines de personnes qui les ont informés de la tragique nouvelle que son père avait été tué. Bien que son père Jacques Mesrine ait été abattu par la police, son fils n’a jamais nourri d’animosité envers les forces de l’ordre. Mais le commissaire en chef Robert Broussard, qui avait capturé “l’ennemi public numéro 1”.
Etait quelqu’un qu’il ne pardonnerait jamais. Jacques Mesrine, largement connu comme “l’ennemi public numéro 1”, a été condamné à 20 ans de prison à l’époque ; il s’agit maintenant d’une peine très longue et proche de la perpétuité. Ce n’était pas le moindre de ses problèmes d’être le fils de l’ennemi public numéro un.
Le jeudi 10 décembre, lors de son passage dans le plateau de Touche Pas à Mon Poste, Bruno Mesrine s’est exprimé avec franchise sur son père, Jacques Mesrine, et sur les événements qui ont entouré sa mort le 2 novembre 1979. Un décès qui a déclenché “27 ans de procédure” pour “assassinat”, qui a finalement abouti à un non-lieu.
Le fils du criminel, ainsi que la sœur du délinquant Sabrina et son frère Boris, ont porté plainte contre les autorités, qui ont invoqué la légitime défense. La police avait justifié l’usage de la force létale (21 coups de feu ont été tirés) en invoquant le danger que présentait le fugitif mort.
Qui conduisait son automobile au moment de la fusillade. Le fils de la personne décédée conteste le fonctionnaireexplication. Si mon père est toujours dangereux après avoir été enfermé dans une BMW avec les mains sur le volant alors qu’il se faisait tirer dessus par quatre snipers et entouré d’une trentaine de policiers, veuillez expliquer.
Bruno Mesrine, qui vivait en Savoie au moment du décès de son père, survenu non loin de la porte de Clignancourt à Paris, l’a appris en se rendant sur la tombe de son grand-père. Il était adolescent à l’époque. Le petit-fils de Jacques Mesrine est arrivé dans l’appartement familial de Clichy avec son père et a été accueilli.