Andy Meurtrier De Sa Famille – Il a tué à mort ses deux parents et ses deux frères en août 2009. Andy, aujourd’hui âgé de vingt ans, a été jugé “irresponsable” par un tribunal de première instance et fait appel de cette décision cette semaine à Aix-en-Provence devant la cour d’assises pour Mineurs des Bouches-du-Rhône.
Après un an à l’hôpital, il semble totalement libre devant le tribunal. Compte tenu de son âge au moment des faits, l’audience se déroulera à huis clos. Andy avait demandé une audience publique en première instance, mais sa demande a été rejetée. Parce que le parquet et les parties civiles s’y étaient opposés, le tribunal avait dit non.
Dans la nuit du 11 au 12 août 2009, dans le village d’Albitreccia, sur les hauteurs de Porticcio, l’adolescent se détend et n’a aucun problème. A volé le fusil à pompe de son père et l’a utilisé pour tuer ses deux parents et ses frères et sœurs jumeaux de 10 ans dans leur chambre.
Andy s’est ensuite tranché les poignets et s’est enfui après avoir volé 2 600 euros dans le coffre-fort de la chambre principale et une belle montre. Il avait utilisé son téléphone portable pour demander de l’aide à des amis aux petites heures du matin. La mère avait créé une entreprise dans le village de Corse du Sud proposant.
Du ménage, du repassage et du jardinage, et le père avait trouvé un emploi comme vendeur en Corse, mais la famille avait déménagé de la région cannoise pour y être à l’année. La nuit suivante, un de ses oncles le repère sur une plage voisine. Le gamin était sorti toute la journée, se promenant sous le choc en.
Ne portant que des shorts et pas de chaussures. Après cela, son oncle l’emmène au poste de police pour qu’il puisse leur dire ce qu’il a fait. J’étais très désorienté tout était flou et je n’entendais rien. Il affirme dans sa déposition qu’il s’est dirigé vers le râtelier d’armes de son père parce qu’il “devait le faire”, qu’il avait.
l’intention de tirer et qu’il voulait se suicider. Selon les conclusions de l’enquête, la famille dévastée jouissait d’une apparence de contentement parfait. Andy était secrètement conduit à une extrême morbidité par des démons inexplicables. Il était à bout de souffle, ravagé par l’agonie et une version tordue du blues émotionnel.
La cour d’assises l’avait d’abord jugé “irresponsable d’une maladie mentale ayant éradiqué le discernement au moment des faits” et ordonné son placement en institution. Cependant, les cinq jours d’arguments ont été caractérisés par les appréciations contradictoires de son état mental faites par de nombreux professionnels.
Le jeune homme, qui n’a fourni aucune justification à son geste, a été jugé responsable de cet incident de trois manières distinctes par divers groupes de professionnels de la psychiatrie. Les parties civiles en quête de vérité sont sorties amères de ce procès, tandis que le parquet a vécu une toute autre expérience.
Depuis, le président de la cour d’assises a sollicité deux nouvelles expertises, et à partir de jeudi prochain, sept jours d’audience auront lieu. Andy est actuellement un patient à l’hôpital psychiatrique Montfavet à Avignon, bien qu’il ne prenne aucun médicament pour son état.
Il a obtenu son baccalauréat scientifique (avec mention), qu’il a utilisé pour poursuivre ses études en biologie pendant son incarcération, où il a également participé à des sports et a reçu des congés réguliers. La procédure préliminaire devrait se poursuivre jusqu’au 13 décembre.
Même maintenant, ils font partie de mes couples préférés. J’ai fait cela et je le regrette”. C’est ainsi qu’Andy F. se décrit. Vendredi 16 novembre, il a quitté la cour d’assises des mineurs délinquants de Corse-du-Sud avant d’apprendre son acquittement tard dans la nuit. Dans un silence assourdissant, la salle s’ouvrit à nouveau.
Au public et aux journalistes. Après cinq jours d’audience, le juge l’a jugé “criminellement irresponsable” puisque son “discernement s’est transformé” à l’âge de 16 ans. L’incident s’est produit à Porticcio, en Corse-du-Sud, lorsqu’il a tiré sur son père. À l’été 2009, il est rentré à la maison pour trouver sa mère.
Et ses deux jeunes frères endormis dans leur lit. “Je ne dis pas que je suis fou, mais au moment des faits je n’étais pas dans mon état habituel”, a déclaré le jeune homme de 19 ans le jour de l’ouverture de ce procès à huis clos. Rien de nouveau n’a été présenté au jury au cours de la semaine au delà des informations.
Présentées lors de l’enquête en plus de dire “je ne sais pas”, puis d’ajouter rapidement “je ne sais plus”, il n’a ni expliqué ni pesé sur la controverse entourant le triple meurtre extrêmement inhabituel. Andy F. a donc écouté en silence les demandes d’informations concernant.
Une “peluche” qui avait été emballée après son colis pour une escapade de moins de 24 heures dans les maquis environnants et sur le bord de mer. En réponse à Me Fabienne Boixel-Sanna, conseil de la famille paternelle, demandant indifféremment quelle était l’utilité de ce.
Doudou ramené par le tueur, un enquêteur a révéléau bar que c’était la tirelire des petits frères du tueur. Andy n’a pas expliqué les subtilités de l’affaire, y compris les événements de la soirée précédente. Sa question sur la raison pour laquelle ses frères ont mangé des spaghettis si.
Tard probablement parce qu’ils avaient été invités chez leurs voisins pour un barbecue – a également été accueillie par un silence. Malgré ses affirmations selon lesquelles il leur avait préparé des nuggets et des frites plus tôt dans la soirée, une autopsie a révélé qu’il les avait vraiment tués. En raison de son absence actuelle de commentaires, il nous reste à spéculer sur tout et n’importe quoi, y compris les appels.