
Allan Petre Parents – Originaire de Seine-Saint-Denis, ce jeune Français rejoindra l’équipe de science planétaire de la NASA pour leurs prochaines missions. Le jeune homme de 24 ans originaire de Seine-Saint-Denis, en France, a fait ses débuts sur les réseaux sociaux en annonçant son acceptation d’un poste au Jet Propulsion Laboratory en Californie, un centre de recherche de l’Agence spatiale américaine.
Ses parents travaillaient tous deux dans le secteur des services ; il a grandi dans l’entreprise familiale. Il a reçu une réception de Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie, et Emmanuel Macron l’a félicité sur LinkedIn après avoir fait cette annonce.
Formation supérieure menant à un diplôme en administration et gestion d’entreprise
La raison en est que l’itinéraire de l’ingénieur n’était pas gravé dans le marbre. S’il a déclaré au Parisien qu’il s’intéressait à l’aérospatiale depuis l’école primaire, il se serait “recroquevillé, par manque de confiance”, face aux conditions d’admission strictes du domaine au moment de décider de son programme d’études supérieures.
Il a évoqué sur BFMTV son manque d’assurance à 17 ans et sa détermination à suivre sa passion. Il s’est convaincu que si ses professeurs plus expérimentés lui disaient cela, ce serait que ce n’était pas pour rien. Même s’il ne regarde pas en arrière avec regret, il sait que son doctorat en gestion des affaires et de l’administration, qu’il a poursuivi après avoir obtenu son baccalauréat, ne lui convenait pas.
Une école d’ingénieur qui accepte les formations en alternance
En préparation à ses études de médecine, le jeune homme a obtenu un doctorat en ingénierie thermique et énergétique à l’Université de Technologie de Ville-d’Avray. Il y avait un trajet de deux heures en transport entre Marne-la-Vallée et Ville-d’Avray ; mes parents avaient déménagé en Seine-et-Marne. “Notamment parce que j’ai signé un contrat avec Hugo Boss à La Vallée Village pour travailler les samedis et dimanches afin de pouvoir payer mes études”, a-t-il expliqué au Parisien.
Dans un geste « courageux », la NASA a tendu la main.
Par la suite, j’ai téléphoné à la NASA, ce que j’ai fait avec pas mal de nervosité, pour faire les sélections. Les chances ne se présentent pas toujours ; parfois, il faut les réaliser”, a-t-il déclaré dans un entretien au Parisien, un message qu’il espère partager avec les élèves.
Je l’ai placé quelque part au centre de la classe ; Je ne dirais pas que j’étais tout en haut.
Mon aspiration est de devenir astronaute. Cela signifie qu’Allan Petre rejoindra le Jet Propulsion Laboratory en janvier “pour travailler en sciences planétaires sur les prochaines missions de la NASA, Veritas et Da Vinci+, qui seront des sondes interplanétaires envoyées sur Vénus”, comme il l’a indiqué au Parisien.
Selon l’explication de l’ingénieur à Booska-P, il étudiera spécifiquement comment l’activité volcanique sur Vénus contribue “à l’effet de serre” et “au fait que Vénus est une planète si infernale du point de vue des conditions atmosphériques”.
« Allan Petre », notez son nom ; il est loin d’avoir fini de le féliciter. Son départ de la foule « française » du très réputé Jet Propulsion Laboratory de Pasadena, en Californie, où sont conçus les robots et les vaisseaux de l’agence spatiale américaine, n’est pas sans précédent. Dans une récente interview au Parisien, il déclare : “Je me suis battu et j’ai réussi !” Cette « success story » revient à son caractère purement commercial.
Une ambition de toute une vie réalisée
Allan Petre Élément d’un désir de toute une vie. Il dit avoir toujours été fasciné par les secrets de l’univers. Le jeune homme se souvient d’une époque où il regardait les étoiles et s’interrogeait sur le cosmos et le rôle qu’il y jouait. Il retrouve ses repères au bout d’un an. “Ils ne m’ont pas arrêté, mais ils m’ont prévenu que la route serait semée d’embûches et que je devrais tenir le coup”.
Après un an d’erreur de parcours, Allan Petre s’inscrit en doctorat d’université en génie thermique et énergétique sur le campus Paris Nanterre Ville-d’Avray.
Difficultés de transport et exigences du travail étudiant
Entre-temps, la Seine-et-Marne devient la nouvelle demeure de ses parents. C’était compliqué car je partais à 6 heures du matin et revenais à 20 ou 20h30. Il rappelle qu’il était difficile de le modifier. Parallèlement, il travaille le week-end pour payer ses études, comme beaucoup d’autres étudiants. “Le samedi et le dimanche, je prenais un contrat chez Hugo Boss à Vallée Village”, a expliqué le jeune homme au journal. Il parvient néanmoins à obtenir son diplôme deux ans plus tard.
Elle est remarquée par la société Ariane Group.
Il était également à la recherche d’un contrat en alternance lorsqu’il a passé des entretiens avec Safran, Airbus et Ariane Group. Je suis allée au Groupe Ariane et à l’école en même temps, ce qui a été une immense bénédiction. Le jeune homme s’est inscrit à la rentrée à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et d’Aérotechnique (ISAE-ENSMA) près de Poitiers (Vienne).
Alors qu’il était encore étudiant en deuxième année, Allan Petre a effectué un stage au laboratoire d’astrophysique de l’Université de Floride.
Le jackpot, c’est que la NASA l’a choisi
Nous devons être ceux qui créent les opportunités ; parfois, ils ne se matérialisent tout simplement pas. Selon son explication, il a contacté un chercheur en astronomie de l’Université de Floride et un scientifique de la NASA dont les travaux ont piqué sa curiosité.
En janvier prochain, un Français de 24 ans débutera sa carrière à la NASA
Beaucoup d’efforts et un peu de courage sont nécessaires. L’ambition d’Allan Petre, 24 ans, de travailler pour la NASA s’est ainsi concrétisée. Une aventure incroyable qui a suscité les éloges de tous les niveaux de gouvernement. Emmanuel Macron l’a félicité en disant : “Vous êtes la preuve qu’il faut croire en ses rêves”.
Bruno Le Maire, qui l’a reçu à Bercy, l’a qualifié de “véritable modèle de réussite”. Allan Petre confie au Parisien qu’il passait des heures à “regarder des vidéos de Neil Armstrong et d’Apollo” lorsqu’il était enfant, car il a toujours été passionné d’aérospatiale. Malgré cela, il s’éloigne de son objectif et s’oriente dès ses années de premier cycle vers un DUT en gestion des affaires et des administrations. Il a estimé que « c’est maintenant ou jamais » et a recentré ses efforts après avoir terminé sa première année de travail dans le secteur de son choix.
