Abbé Pierre Dufour Est Il Vivant – Pierre Dufour, 71 ans, prêtre à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie), a été condamné à 15 ans de prison en mai 2006. L’homme a été reconnu coupable d’avoir abusé sexuellement d’au moins une dizaine de mineurs pendant plusieurs années alors qu’il ils étaient invités chez lui. Cependant, l’avocat général a présenté une liste de tous les témoins qui ont témoigné avoir été touchés dans leur jeunesse, un phénomène qui aurait culminé dans les années 1960 et pour lequel il existe un traitement.
L’affaire impliquant le prêtre français Pierre Dufour est connue sous le nom d’affaire Pierre Dufour. Il a été arrêté en 2003 et a été accusé d’agression sexuelle à plusieurs reprises depuis au moins 1960. En 2006, il a été condamné à 15 ans de prison. Pierre Dufour utilise “sa qualité, son autorité et sa notoriété” pour abuser “des enfants de chœur, garçons ou filles” depuis au moins les années 1960.
Les parents d’une des victimes de Pierre Dufour ont approché l’évêque de l’archidiocèse de Chambéry, Maurienne et Tarentaise, Claude Feidt, en mars 1992 pour lui faire part des sévices infligés à leur fils par le prêtre. Claude Feidt ignore les accusations portées contre lui. En 1997, la victime accusée s’est suicidée.
Feidt a nommé Pierre Dufour comme son évêque vicaire en 1995. En 1996, les autorités ont mené une enquête initiale qui n’a finalement donné aucun résultat juridique. Deux adultes qu’il avait sauvés de l’itinérance en décembre 2003 ont accusé Pierre Dufour de viol. Après son arrestation, il a avoué ces viols et autres agressions d’enfants remontant à 1960. La cour d’assises de Chambéry connaît d’affaires civiles impliquant cinq victimes, dont un prêtre.
L’effacement prescrit signifie qu’aucun document antérieur à 1993 ne sera conservé. Comme le dit l’avocat général, les victimes « frappaient en fait à la porte de l’enfer », et le prêtre les considère comme des proies faciles sur lesquelles il aura toute autorité parce qu’elles sont venues la chercher. Ce malade détruit le libre arbitre de l’autre personne afin qu’il puisse être utilisé comme objet sexuel.
Le prêtre dit au malade : « c’est pour te guérir, ce n’est pas moi qui te touche, c’est Dieu ». Au cours du procès, l’archevêque de Chambéry Laurent Ulrich a parlé de son empathie pour les victimes de Dufour. Il a dit qu’ils cherchaient des gens gentils, désintéressés, à les écouter et à leur prodiguer des conseils. De ce fait, ils étaient beaucoup plus surpris et scandalisés par le drame en ce moment.
En tant que chrétiens, prêtres et évêque, nous sommes également très attristés par leurs témoignages. En 2006, Pierre Dufour a été reconnu coupable de “viol et agression sexuelle” et condamné à une peine de 15 ans de prison avec une peine de sécurité des deux tiers. Depuis hier, l’abbé Pierre Dufour est jugé devant les Assises de Savoie pour des dizaines de chefs de viols et d’abus sexuels, dont ceux commis sur des enfants de chœur. Des choses qui durent depuis près de 40 ans.
“un homme intelligent, doté d’une personnalité perverse avec un mécanisme de déni par rapport à la gravité des faits”, disent les spécialistes de Pierre Dufour. Les assises de Savoie ont ouvert hier l’audience contre l’abbésavoyard, âgé de 71 ans. Il est accusé de “viols et agressions sexuelles sur personnes vulnérables par personne en position d’autorité” sur des dizaines de victimes. Le procès devrait durer jusqu’à vendredi.
L’enquête sur les premières allégations d’attouchements sur mineurs contre le vicaire de l’évêque de Saint-Jean-de-Maurienne débute en 1963. En 2003, l’abbé Dufour est placé en garde à vue après le dépôt d’une plainte pour agression sexuelle auprès des gendarmes. Parmi les facteurs aggravants figure la vulnérabilité des victimes en tant que sujets de l’autorité de l’abbé.
Pierre Dufour, un ecclésiastique respecté, a utilisé son magnétisme pour amener des jeunes hommes en grande difficulté financière à passer la nuit chez lui. Il les a menacés ou les a soudoyés pour qu’ils se taisent, puis il les a touchés, leur disant que c’était pour leur propre bien. Un groupe de victimes comprend des enfants de chœur.
Graves répercussions
L’une des nombreuses victimes de Pierre Dufour fut Sébastien Gilodi. Il n’avait que 20 ans lorsqu’il s’est suicidé en 1997 parce qu’il ne pouvait plus supporter la douleur. Pourtant, en 1992, il avait dénoncé le comportement du prêtre, et ses parents avaient écrit à l’évêque de Chambéry, Mgr Claude Feidt. Mais ce dernier a déclaré qu’il ne pensait pas que l’abbé Dufour était coupable.
Cependant, les parents de Sébastien Gilodi n’ont pas pu porter plainte au civil. Le délai de prescription a empêché de nombreuses victimes d’intenter une action en justice. Du coup, Pierre Dufour n’apparaît que dans les années 1993 à 2003. Par contre, cinq personnes, dont un jeune prêtre, ont pu se porter partie civile, et c’est par leur intermédiaire que toutes les victimes de les abbépervers attendent justice.
15 ans se sont écoulés depuis le décès du légendaire Abbé Pierre. Rappelant quelques détails de la vie de cet homme merveilleux au service des pauvres que vous ne connaissiez peut-être pas. Sur FeLe 1er février 1954, l’abbé Pierre se met à la radio pour aider les sans-abri en proie au grand froid. Son message était celui d’une solidarité et d’une fraternité dynamiques.
Ceux qui sont nés longtemps après ce rude hiver ressentent encore l’influence de cet appel et le charisme de celui qui a fondé Emmaüs. Moins connu est le fait qu’il a prononcé la veille six messes à l’église Saint-Pierre-Saint-Paul de Courbevoie, évoquant son combat et demandant des dons pour les pauvres.
L’ouverture des centres d’urgence a été facilitée par d’autres mesures prévues ce jour-là avec le maire de la ville Marius Guerre et les responsables d’associations. De ses débuts dans la Résistance à sa prise de position finale en faveur des sans-papiers, son dévouement découle d’un désir de se battre pour la vérité et d’un désir de déranger les dirigeants de cette planète. Son héritage perdure longtemps après sa mort prématurée le 22 janvier 2007. Mais connaissez-vous d’autres faits sur cet homme qui a consacré sa vie à l’unité ?
Il était FRÈRE PHILIPPE avant de devenir ABBÉ PIERRE
Henri Grouès est la véritable identité de l’abbé Pierre. Il est devenu connu sous le nom de Frère Philippe après avoir prononcé ses vœux en 1931. Pendant son temps dans la Résistance, il adopte le pseudonyme d’Abbé Pierre afin de rester anonyme. Il a fait traverser la frontière au frère du général De Gaulle dans une valise de contrebande
Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, Henri Grouès s’engage comme soldat dans l’armée. Après avoir été démis de ses fonctions à la fin des hostilités, il s’engage rapidement dans le mouvement de résistance, notamment en juillet 1943, lorsqu’il assiste les voies souterraines menant en Suisse. C’est aussi à cette époque qu’il orchestre la fuite en Suisse du frère du général Charles de Gaulle, Jacques de Jacques De Gaulle. En 1944, il finira par se rendre à Alger pour rejoindre De Gaulle.
ADJOINT ÉTAIT SON TITRE
Après la guerre, il se présente et est élu député du Mouvement républicain populaire en Meurthe-et-Moselle. En 1950, il quittera son poste car il n’est plus d’accord avec les positions sociales et politiques du parti, notamment à la suite de la mort d’un ouvrier lors d’une manifestation à Brest.
L’un des faits marquants de l’établissement d’Emmaüs est sa rencontre avec Georges Legay en 1949. L’abbé Pierre est appelé au secours d’un ancien détenu qui envisage de se suicider et l’homme supplie l’abbé Pierre de “l’aider à secourir” car le prêtre n’a rien donner. Le premier animal de compagnie du groupe Emmaüs.
Il remporte près de 250 000 francs au jeu télévisé radiophonique « Quitte ou double » en mars 1952. D’ici deux ans, il bénéficiera largement de cette médiatisation. La contribution de Charlie Chaplin se démarque parmi les nombreuses qui sont arrivées après le premier appel de l’abbé Pierre le 1er février 1954.
L’icône hollywoodienne a surpris tout le monde en faisant un chèque de 2 millions de francs suisses et en déclarant : “Je ne les donne pas, je les rends”. Ils sont la propriété du nomade que j’étais et que je suis toujours. Les 500 millions de francs récoltés permettent la construction de cités d’urgence et l’intensification de la lutte contre la pauvreté. Depuis la direction charismatique d’Emmaüs par l’Abbé Pierre jusqu’à sa mort prématurée en 2007, nous comprenons mieux la suite. Saviez-vous qu’il a été présumé mort pendant quelques jours après un naufrage en Argentine en 1963 ?
Il a chuté de la première place du sondage JDD des personnalités publiques préférées des Français Enfin, voici un conte décrivant ce prêtre à l’esprit ouvert et à l’écoute des émotions. L’abbé Pierre a été élu personnalité publique la plus aimée de France seize fois (!). Mais en 2004, il demande à être retiré de la formation pour que “le plus jeune” puisse prendre sa place. Une méthode de bon goût pour souligner que son combat était primordial.
Le quinzième anniversaire de la disparition du prêtre le plus connu de France est l’occasion pour les amis et la famille de réfléchir sur sa vie et son héritage. L’abbé Pierre a disparu de l’hôpital du Val-de-Grâce le 22 janvier 2007, il y a plus de 15 ans. Henri Grouès est le cinquième de huit enfants et est né à Lyon le 5 août 1912. Après avoir été ordonné prêtre en 1938 et avoir résisté au nazisme tout au long de la Seconde Guerre mondiale, il est ensuite élu député de la région de Meurthe-et-Moselle, au service de 1946 à 1951.
Abbé Pierre était un pseudonyme qu’il utilisait dans sa clandestinité, et c’est ce nom qui assurera sa place dans les livres d’histoire à travers le pays. Le mouvement Emmaüs porte son nom. L’abbé Pierre, reconnaissable à son éternel béret, a consacré sa vie à lutter contre la marginalisation sociale et la misère économique. Son appel à l’hiver 1954 restera dans les mémoires comme l’impulsion d’une formidable démonstration de soutien. Ses activités et sa longévité ont fait de lui le prêtre le plus connu de France, et il a longtemps été un nchérie nationale.